jeudi 14 juin 2012

Marion Maréchal Le Pen

Un témoignage de Charles, 78
 
Ma première expérience de masturbation politique s'est déroulée un soir de janvier 2010. Je me souviens encore avec émotion de l’instant où mon regard s’est posé sur celle qui allait me dépuceler : Marion Maréchal Le Pen. C’est par le biais d’un article de presse sur internet que j’ai découvert son sourire aguicheur et son regard coquin à mi chemin entre le rongeur et le trisomique. Je ne lui ai pas résisté très longtemps et je me suis vite retrouvé nu, mon sexe dans la main droite et la photo de Marion dans la gauche. Terriblement excité et considérablement ému par mon dépucelage, je lui ai très vite éjaculé au visage. Dés lors, j’ai commencé à m’intéresser de plus en plus à Marion et à récupérer bon nombre d’images et de vidéos de la belle.

Une vingtaine de masturbations plus tard, je me suis rendu à l’évidence : j’étais amoureux (au sens masturbatoire bien entendu) de Marion. Mais comment lui avouer, comment dépasser ma timidité et lui dévoiler la relation toute particulière que j’entretiens avec ses photos ? Comment allait-elle réagir ? Notre grande différence d’âge allait-elle être un frein à notre relation ? La famille Le Pen serait-elle prête à accepter que je lui demande sa main plutôt que d’avoir à utiliser la mienne ?

J’ai donc essayé de rentrer en contact avec elle et je lui avais même écrit un poème que je devais lui remettre lors d’un rendez-vous sur le marché de Sartrouville…

Marion, allons voir si la rose
Qui dans les régions impose
Sa politique très superficielle,
Qui enlève travail et fierté
Aux français d'origines certifiées
Au profit d'enfants du Soleil.

Marion, me voilà !
Avec toi, je sauverais la France,
Je jure, qu'une fois à ton bras,
De servir et de suivre tes pas,
Marion, me voilà !
Tu m'as redonné l'espérance,
La Patrie renaitra Marion, Marion,
Me voilà !

Las ! voyez comme en peu d'espace,
Vitale, vous avez pris la place
De beautés et désirs laissés choir !
Ô vraiment marâtre Nature,
Puis qu'une envie si dure,
Queue du matin jusqu'au soir !

Marion, me voilà !
Avec toi, je sauverais la France,
Je jure, qu'une fois à ton bras,
De servir et de suivre tes pas,
Marion, me voilà !
Tu m'as redonné l'espérance,
La Patrie renaitra Marion, Marion,
Me voilà !

Donc, si vous le souhaitez, Marion,
Ma main dans vos cheveux blonds
Jusqu'aux vertes nouveautés,
Cueillez, cueillez votre jeunesse,
De votre bouche jusqu'à vos fesses,
Avec mon amour gonflé mais dressé.

Mais la belle n’est jamais venue (soit disant à cause d’examens…) et sa mère m’a même menacé de faire suivre mes mails à ses amis de la brigade des mœurs en me demandant de rester loin de son parti et de sa fille. N’étant qu’un branleur ‘normal’, j’ai donc décidé de passer à autre chose devant tant d’incompréhension et de haine. C’est grâce à un vieux numéro de Playboy paru en 1987 où Pierrette Le Pen (la grand-mère de Marion) posait nue que j’ai réussi à oublier Marion Maréchal Le Pen.

Jusqu’à la semaine dernière, je n’avais pas éjaculé la moindre goute sur une photo de Marion. Mais quand je l’ai revu à la télévision dans le cadre des législatives de 2012 et quand j’ai en plus appris qu’elle allait participer à une triangulaire, inutile de vous décrire l’effet dans mon caleçon…

J’ai donc récupéré de nouvelles vidéos et photos de Marion. J’aime toujours autant la façon dont elle ponctue ses phrases par des "heu..." ou "voilà", et comment elle sourit quand elle ne sait pas répondre. C’est vrai, elle sourit souvent. C’est la femme parfaite quand on coupe le son. En effet, que ce soit sur le fond ou la forme, son discours transpire l’ignorance et la bêtise profonde. C’est son droit de fantasmer sur l’immigration, comme c’est mon droit de fantasmer sur elle, mais de là à sombrer ainsi dans la vulgarité, c’est regrettable pour une si charmante jeune fille. Elle ferait mieux de se mettre à la masturbation plutôt que de perdre son temps avec la politique.

Si vous aussi vous voulez essayer la masturbation sur Marion Maréchal Le Pen, voici quelques liens qui peuvent être utiles :





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