Un témoignage de Brandon, 59
C’est lors de la soirée organisée à la fin de notre université d’été que j’ai pu pour la première fois approcher Nadine. Je venais d’avoir 18 ans, j’étais déjà un militant et fort comme homme. Bien entendu, je connaissais Nadine depuis longtemps et je suivais régulièrement ses brillantes interventions dans les médias. A l’époque j’étais en pensionnat et elle me faisait penser à ma famille : la voix suave de maman avec les traits de papa et les couilles de Nick (le yorkshire de maman). Aussi, quand je l’ai aperçu sur le dancefloor, je n’ai pu m’empêcher de m’approcher pour la saluer.
Un petit groupe s’était formé autour d’elle et marquait chacun de ses pas de danse d’un clappement de mains. Nadine était en transe à onduler son corps sur du David Guetta. Je n’en revenais pas. Comment faisait-elle pour être à se point décomplexée ? Malgré son physique de fille de camionneur, ses seins pendants et son visage d’ange accidenté, elle n’avait pas le moindre complexe à se donner ainsi en spectacle. « Si seulement je pouvais moi aussi être aussi décomplexé… j’aurais peut-être plus de succès avec les filles » pensais-je. Le pire, c’est qu’elle dansait très bien et de façon très sexy. Son déhanché ne me laissait pas indifférent et la température est encore montée d’un cran quand elle a retiré son pull laissant apparaitre un tee-shirt mouillé par la transpiration : on pouvait clairement voir qu’elle n’avait pas de soutien gorge et ses tétons pointaient comme un furoncle prêt à éclater.
La musique s’arrêta. Je décidais de prendre mon courage à deux mains et de me rapprocher pour la saluer. Alors que je mettais de l’ordre à mes cheveux tout en lissant les plis de mon tee-shirt UMP, Nadine riait en me regardant approcher. Pas le temps de dire un mot que la musique reprenait de plus belle. Je reconnaissais aussitôt le morceau, un de mes préférés, la fameuse musique de la boom : « Reality ». Pensant certainement que je venais l’inviter à danser, Nadine m’attrape aussitôt et se colle à moi pour partager ce slow. C’était la première fois que j’étais si proche d’une femme et pourtant, que ce soit au niveau du visage ou de l’odeur, j’avais l’impression de danser avec mon père. Elle avait dû abuser un peu trop sur la bière et son haleine sentait comme les poubelles de la brasserie de mon quartier. Mais ce n’était pas si désagréable, loin de là. A peine en étions-nous aux préliminaires du refrain que je sentais mon pénis réagir aux stimulations de la cuisse droite de Nadine. Elle m’a alors dit « j’ai envie de toi ». Quelques secondes après, elle me susurrait à l’oreille « espèce de petit cochon, tu veux qu’on ailles faire un tour aux toilettes ? ». Pas le temps de lui répondre qu’elle plongeait déjà sa main dans mon pantalon à la recherche de mon sexe en me chuchotant : « soit pas timide mon grand, Nadine va bien s’occuper de toi ».
Profitant de l’obscurité dans la salle, elle m’entrainait alors vers les toilettes chimiques disposées en rangées à l’extérieur. J’étais comme tétanisé. Elle s’asseyait sur le siège et commençait à enfourner mon gland dans sa grosse bouche avec une rare vulgarité. J’aurais voulu la retenir pourtant je l’ai laissé agir sans faire un geste. Elle m’a alors dit « c’est pas si mal » avec la candeur infernale de sa jeunesse. Je me souviens encore de sa langue rappeuse et de ses généreuses amygdales… C’était si bon… Je n’en demandais pas tant ! Nadine, sentant que les vannes n’allaient pas tarder à s’ouvrir, retira alors mon sexe de sa bouche pour me masturber énergiquement en me suppliant de « l’arroser comme une salope ». Rien ne venait. Et c’est au moment précis où je me disais qu’elle ressemblait décidément très fortement à mon père avec une perruque, que je lui ai éjaculé dessus. Ses lèvres encore couvertes de sperme, elle se retournait en me demandant de lui « lécher l’abricot ». C’était la première fois (et la dernière) que j’en mangeais et je dois avouer que je ne suis pas un grand amateur de fruit sec. J’avais l’impression de manger du beure demi-sel rance. La langue dans son appareil génital et le nez dans son anus, j’éprouvais les pires difficultés à reprendre mon souffle. Alors que je ressentais l’amertume des bancs de l’assemblée nationale dans ma bouche, Nadine me demanda de lui mettre « un doigt dans le cul ». Très vite c’est tout mon avant bras qui se retrouvait plongé dans les profondeurs de Nadine, à tel point que je pouvais presque toucher son âme. A chaque regard lubrique qu’elle lançait en arrière, je voyais mon père. C’était très perturbant. Mais le plus perturbant fût sans conteste l’extraction : je n’arrivais pas à retirer ma main de son anus.
Heureusement qu’elle avait son portable pour appeler de l’aide. Très vite, la garde rapprochée de Nicolas Sarkozy est venu nous exfiltrer. Ce n’est que deux heures plus tard que Nadine m’a rendu ma main dans une explosion de joie, après avoir poussé de toutes ses forces. J’ai eu de la chance car au début les médecins voulaient m’amputer pour éviter d’abimer le principal outil de travail de Nadine. Depuis nous sommes restés très liés et je continue à la suivre sur twitter.
Après cet épisode j’ai fantasmé pendant de longs mois sur Nadine et je me masturbais quotidiennement en pensant à elle. Mais curieusement, je ne ressentais rien à la vision d’autres femmes. Grace à elle j’ai enfin réussi à m’accepter et à prendre confiance en moi : Je suis gay, je pense que je l’ai toujours été et que Nadine n’a fait que m’ouvrir les yeux sur la répulsion sexuelle que j’éprouve pour les femmes. Et cela n’a rien à voir avec le traumatisme enduré. Je lui serais éternellement reconnaissant et sa récente défaite aux législatives m’a beaucoup touché. La pauvre, que va t’elle devenir ? Dame pipi au siège de l’UMP ? Prostituée pour routier sur une aire d’autoroute ? Chienne de garde dans une villa du cap Nègre ? Je crains le pire et je tiens à lui apporter tout mon soutien. Nous partageons beaucoup de valeurs et je ne dis pas cela pour racoler les électeurs du Front National mais parce j’ai eu mon bras bloqué suffisamment de temps dans son anus pour réaliser qu’au-delà de la forme, Nadine Morano a du fond.
Un petit groupe s’était formé autour d’elle et marquait chacun de ses pas de danse d’un clappement de mains. Nadine était en transe à onduler son corps sur du David Guetta. Je n’en revenais pas. Comment faisait-elle pour être à se point décomplexée ? Malgré son physique de fille de camionneur, ses seins pendants et son visage d’ange accidenté, elle n’avait pas le moindre complexe à se donner ainsi en spectacle. « Si seulement je pouvais moi aussi être aussi décomplexé… j’aurais peut-être plus de succès avec les filles » pensais-je. Le pire, c’est qu’elle dansait très bien et de façon très sexy. Son déhanché ne me laissait pas indifférent et la température est encore montée d’un cran quand elle a retiré son pull laissant apparaitre un tee-shirt mouillé par la transpiration : on pouvait clairement voir qu’elle n’avait pas de soutien gorge et ses tétons pointaient comme un furoncle prêt à éclater.
La musique s’arrêta. Je décidais de prendre mon courage à deux mains et de me rapprocher pour la saluer. Alors que je mettais de l’ordre à mes cheveux tout en lissant les plis de mon tee-shirt UMP, Nadine riait en me regardant approcher. Pas le temps de dire un mot que la musique reprenait de plus belle. Je reconnaissais aussitôt le morceau, un de mes préférés, la fameuse musique de la boom : « Reality ». Pensant certainement que je venais l’inviter à danser, Nadine m’attrape aussitôt et se colle à moi pour partager ce slow. C’était la première fois que j’étais si proche d’une femme et pourtant, que ce soit au niveau du visage ou de l’odeur, j’avais l’impression de danser avec mon père. Elle avait dû abuser un peu trop sur la bière et son haleine sentait comme les poubelles de la brasserie de mon quartier. Mais ce n’était pas si désagréable, loin de là. A peine en étions-nous aux préliminaires du refrain que je sentais mon pénis réagir aux stimulations de la cuisse droite de Nadine. Elle m’a alors dit « j’ai envie de toi ». Quelques secondes après, elle me susurrait à l’oreille « espèce de petit cochon, tu veux qu’on ailles faire un tour aux toilettes ? ». Pas le temps de lui répondre qu’elle plongeait déjà sa main dans mon pantalon à la recherche de mon sexe en me chuchotant : « soit pas timide mon grand, Nadine va bien s’occuper de toi ».
Profitant de l’obscurité dans la salle, elle m’entrainait alors vers les toilettes chimiques disposées en rangées à l’extérieur. J’étais comme tétanisé. Elle s’asseyait sur le siège et commençait à enfourner mon gland dans sa grosse bouche avec une rare vulgarité. J’aurais voulu la retenir pourtant je l’ai laissé agir sans faire un geste. Elle m’a alors dit « c’est pas si mal » avec la candeur infernale de sa jeunesse. Je me souviens encore de sa langue rappeuse et de ses généreuses amygdales… C’était si bon… Je n’en demandais pas tant ! Nadine, sentant que les vannes n’allaient pas tarder à s’ouvrir, retira alors mon sexe de sa bouche pour me masturber énergiquement en me suppliant de « l’arroser comme une salope ». Rien ne venait. Et c’est au moment précis où je me disais qu’elle ressemblait décidément très fortement à mon père avec une perruque, que je lui ai éjaculé dessus. Ses lèvres encore couvertes de sperme, elle se retournait en me demandant de lui « lécher l’abricot ». C’était la première fois (et la dernière) que j’en mangeais et je dois avouer que je ne suis pas un grand amateur de fruit sec. J’avais l’impression de manger du beure demi-sel rance. La langue dans son appareil génital et le nez dans son anus, j’éprouvais les pires difficultés à reprendre mon souffle. Alors que je ressentais l’amertume des bancs de l’assemblée nationale dans ma bouche, Nadine me demanda de lui mettre « un doigt dans le cul ». Très vite c’est tout mon avant bras qui se retrouvait plongé dans les profondeurs de Nadine, à tel point que je pouvais presque toucher son âme. A chaque regard lubrique qu’elle lançait en arrière, je voyais mon père. C’était très perturbant. Mais le plus perturbant fût sans conteste l’extraction : je n’arrivais pas à retirer ma main de son anus.
Heureusement qu’elle avait son portable pour appeler de l’aide. Très vite, la garde rapprochée de Nicolas Sarkozy est venu nous exfiltrer. Ce n’est que deux heures plus tard que Nadine m’a rendu ma main dans une explosion de joie, après avoir poussé de toutes ses forces. J’ai eu de la chance car au début les médecins voulaient m’amputer pour éviter d’abimer le principal outil de travail de Nadine. Depuis nous sommes restés très liés et je continue à la suivre sur twitter.
Après cet épisode j’ai fantasmé pendant de longs mois sur Nadine et je me masturbais quotidiennement en pensant à elle. Mais curieusement, je ne ressentais rien à la vision d’autres femmes. Grace à elle j’ai enfin réussi à m’accepter et à prendre confiance en moi : Je suis gay, je pense que je l’ai toujours été et que Nadine n’a fait que m’ouvrir les yeux sur la répulsion sexuelle que j’éprouve pour les femmes. Et cela n’a rien à voir avec le traumatisme enduré. Je lui serais éternellement reconnaissant et sa récente défaite aux législatives m’a beaucoup touché. La pauvre, que va t’elle devenir ? Dame pipi au siège de l’UMP ? Prostituée pour routier sur une aire d’autoroute ? Chienne de garde dans une villa du cap Nègre ? Je crains le pire et je tiens à lui apporter tout mon soutien. Nous partageons beaucoup de valeurs et je ne dis pas cela pour racoler les électeurs du Front National mais parce j’ai eu mon bras bloqué suffisamment de temps dans son anus pour réaliser qu’au-delà de la forme, Nadine Morano a du fond.
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